La confiance en soi est vraiment importante à bien des égards.

Si tu souhaites, par exemple, te libérer de l’anxiété et des grosses angoisses que tu peux avoir

de donner une nouvelle saveur à ton quotidien, réussir peut être quelque chose que t’as jamais réussi jusqu’alors, que tu veux entreprendre quelque chose, mais qui t’intéresse absolument, mais encore jamais réussi à le faire.

Si tu veux donner ce nouvel impact à ta vie, te diriger vers plus de succès, tu DOIS travailler absolument sur la confiance en toi et on va voir pour quelles raisons et quels conseils mettre en action

C’est quoi avoir confiance en soi ?! Quel exercice possible pour la trouver rapidement ? Quels objectifs se fixer ?

Dans cette vidéo, je vais partager une petite astuce sympa qui vient de la programmation neurolinguistique qui va te permettre de changer. C’est ce petit démon que tu peux avoir qui t’empêche d’avoir confiance en toi. Alors je vais immédiatement mettre les choses au clair par rapport à la confiance en soi et ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas. Bien souvent, on entend que la confiance en soi et l’estime de soi, c’est la même chose. 

Du type : «  la confiance en soi, l’estime de toi c’est pareil » ou » je manque d’estime, je manque de confiance. »

En réalité, pas vraiment. La confiance en soi, c’est quelque chose que l’on ressent. C’est finalement un état interne.

C’est quelque chose que l’on vit et vraiment, c’est de l’ordre du ressenti par rapport à l’estime de soi. En fait, la confiance en soi n’est qu’une composante. Une des trois composantes de l’estime de soi.

L’estime de soi… suis-je comme un bien immobilier dont on estime le prix ?!

L’estime de soi, c’est la valeur que l’on se donne.
L’estimation de la valeur que nous mêmes on se donne à nous mêmes. On peut aussi dire que c’est la différence entre la valeur que l’on se donne et la valeur de notre nous « parfait ».
Plus la différence entre les deux sont élevés, plus on va dire qu’on a une estime de soi faible.
L’estime de soi est donc répartie entre trois choses : l’amour de soi, la confiance en soi et l’image de soi.

Ces trois composantes, elles sont complètement interdépendantes, elles sont liées.

C’est important de travailler sur les trois en même temps pour augmenter l’une ou l’autre pour faire progresser les trois en même temps.

La difficulté, c’est que par les temps qui courent, c’est un peu difficile de monter en confiance en soi. Je ne sais pas quand est ce que tu regardes, à quelle date tu regardes cette vidéo d’aujourd’hui. Mais on sort à peine de la crise du coronavirus.

Dans une telle situation, ce n’est pas évident pour ceux qui manque d’estime d’eux, ce n’est pas dans leur zone de confort.

Mais en tout cas, ceux qui ont un estime d’eux plutôt élevée s’en sont plutôt bien sortis et sont à l’aise dans la situation.

On voit bien l’importance de progresser dessus. Il faut donc travailler sur ces trois piliers en même temps : la confiance, l’image, l’amour pour pouvoir avoir une estime de soi forte.

Pour que tu puisses imaginer, j’aimerais proposer quelques exemples, notamment :

-Imagine tu que ce soit possible que, tu aies une grande confiance en toi, (faisons comme si ^^) et puis, par contre, l’image que tu dégage ne correspond pas à ce que tu aimerais dégager. T‘es pas à l’aise avec l’image que tu dégage.
On voit bien que ça parait incohérent.
A l’inverse, l’image que tu dégage est plutôt bonne, mais tu ne t’aime pas. C’est difficilement envisageable.
De la même façon, imagine que tu as quelque chose de toi qui te déplaît.
Ça paraît compliqué dans ce cas, de se sentir vraiment confiance dans n’importe quelle situation.
Si, à l’inverse, tu te sens plutôt à l’aise, que ton image te correspond vraiment à ce compte, ça va être beaucoup plus simple d’être en confiance dans n’importe quelle situation.

Confiance en soi : une « concurrence » psychologique

Aujourd’hui, dans beaucoup de domaines, on est en concurrence tout le temps. Finalement, que ce soit au travail, que ce soit avec les amis, que ce soit dans les loisirs, que ce soit dans les relations, les relations amoureuses, tout est en compétition.
Ceux qui réussissent dans tous ces domaines, ils ont bien souvent une estime d’eux très élevée et stable.
Pourtant, malgré toutes les avancées technologiques qu’on vit, on n’a que trop peu avancé, selon moi, sur le sujet de l’estime de soi.
Et comment la développer? Comment la transmettre? Surtout, on voit bien que finalement, on a de plus en plus de monde qui a de moins en moins confiance en eux.
On sait maintenant que l’estime de soi se construit de zéro à sept ans.
Et pourtant, il y a des choses comme notre système éducatif qui sont restés bien imperméables à cette information.
Un exemple très simple, c’est finalement notre système de notation.
Tous les élèves sont « sanctionnés » en cas d’erreur, ‘ne fais pas d’erreurs », alors que pour avoir confiance en nous en soi, on doit développer notre capacité à faire face à ses erreurs.
On devrait donc finalement féliciter la prise de risque et encourager en situation d’échec plutôt que de punir par une mauvaise note.
C’est juste comme ça, on voit bien que les choses sont un peu différentes, une autre chose intéressante qui nous montre que notre société ne nous aide pas vraiment à avoir confiance.

Avoir une haute estime de soi ; est-ce nocif ?

Très récemment on m’a fait cette réflexion en coaching. « Je ne veux surtout pas avoir trop confiance en moi parce que finalement, ça ferait de moi quelqu’un d’un peu odieux ». « J’ai pas envie qu’on me voit avec cette assurance démesurée ».

En fait, je te rassure, c’est totalement impossible. En ayant une estime de toi le plus élevé possible, tu ne peux pas être odieux. Au contraire, quelqu’un qui a confiance en lui, qui a vraiment une confiance totale en lui, une estime haute et stable.

Il va avoir tendance à encourager à amener les autres. C’est vraiment un leader à emmener les autres dans la confiance en eux. Il ne va pas se servir de l’autre pour se mettre en avant. Il va pousser les autres à se mettre en avant. Simplement parce qu’en fait, la personne, elle n’a pas besoin des autres pour avoir confiance en soi.

Elle va avoir besoin d’elle même. Elle sait qu’elle a confiance en elle, mais ça va lui apporter beaucoup également de faire monter les autres en compétences pour pouvoir que tout le monde soit soi nourrie de cette confiance en soi forte.

La bonne nouvelle ?

C’est que ça s’apprend, la confiance en soi, oui, elle se crée facilement de zéro à sept ans, mais on peut aller la chercher. On peut aller travailler.

J’ai envie de dire c’est un peu comme d’apprendre une nouvelle langue, une nouvelle langue étrangère, ça demande des efforts.

C’est pas toujours hyper plaisant, mais c’est tout à fait faisable avec la bonne méthode.

Alors comment la première étape, ça va être ? De se poser une question, je vais te poser une question très claire, très importante.

Que ferais-tu si tu avais confiance en toi? Et que fais tu avec une confiance en toi élevée?

Je ne te demande pas ce que tu ne ferais pas. Je te demande ce que tu ferais. J’entends déjà « Ah oui, alors j’arrêterai de me faire marcher dessus ». « J’arrêterai d’avoir peur ». « J’arrêterai de me laisser parler n’importe comment ». » J’arrêterai de me faire avoir », etc. Etc.
Sauf qu’il y a une chose qu’il faut savoir, c’est que le cerveau ne perçoit pas les injonctions négatives.
Si maintenant, je te dis ne regarde pas le tableau au dessus de mon épaule droite. Tu vois bien que t’es obligé de regarder, t’es obligé de regarder pour ne pas regarder si tu fais du ski, par exemple, aussi certainement déjà remarqué que quand tu prends un poteau sur la piste, un sapin et éventuellement un obstacle.
Tu te focalise au départ tellement sur cet obstacle que tu ne dois pas percuter et que finalement tu finis par le percuter.
Tu regardes, tu sais que tu dois pas y aller, tu te dis « il faut que je tourne », mais malgré tout, tu y vas et tu le prends.
Et puis finalement, tu comprends assez vite que tu dois regarder tu dois aller.
Tu aurais regardé à côté pour pouvoir contourner, de focaliser tu dois aller et pas tu ne dois pas aller. Et tu dois donc prendre un chemin différent pour pouvoir contourner l’obstacle et ne pas le percuter.

Donc, je te dis installe toi calmement, avec une bonne musique, un bontés si t’as envie, un café, peu importe. Et puis laisse toi aller écrit ce qui serait vraiment ce que tu ferais de positif au positif.

Tout est possible. Que ferais tu? Rêves grand, rêve fort. Là, vraiment, fais toi plaisir.
Il n’y a pas de limite, réellement. Il n’y a pas de limite. Amuse toi, écris tout ce que tu ferais si j’avais confiance. Tu te mets dans cette situation de confiance. Et tu vas chercher tout ce qui plairait vraiment dans ta vie. Qu’est ce que tu ferais différemment? Comment tu le ferais dans ces moments? Oublie vraiment tout ce qu’on t’a dit de limitant.
C’est possible, tout est possible. « Si j’avais confiance, je ferais ÇA ».
La deuxième question que je vais te poser est la deuxième étape, c’est :

Quand est ce que ça a été la dernière fois que tu as eu confiance en toi?

C’est une question un peu spéciale à première vue. Peut être que tu pourrais te répondre ou me répondre. « En vrai, jamais. Je suis vraiment quelqu’un de introverti. Je n’ai jamais confiance en moi. »

C’est faux.

Il y a forcément un moment des choses que tu fais, des tâches que tu réalises, dans lesquelles t’as vraiment confiance en toi.

Entièrement confiance en toi. Quelque chose dont c’est naturel.

Un exemple?

Ça pourrait être tout simplement ta confiance en toi maintenant. Aujourd’hui, quand tu dois aller nager, tu dois savoir nager, peut être. Et donc, la première fois, par contre, que tu t’es rapproché d’un bassin. Certainement, tu as été assez pétrifier au début, terrifié à l’idée de te noyer.

On n’est pas à l’aise et on voit bien qu’à force de s’entraîner, on sait nager, tout simplement.
On le sait, on est confiant.
Peut-être aussi pendant que tu fais ton sport favori, t’as tendance maintenant à avoir confiance en toi. Pendant ces moments, je t’invite à repenser aux premiers instants ou peut être à jouer au ballon. Le regard des autres peut être, te fait paniquer un peu.
Peut être que tu sais aussi faire un magnifique barbecue ou des belles recettes. Et pour le coup, t’es très confiant dans cette tâche, mais qu’avant, tu ne l’aurais pas été au départ. Quand la première fois, le gaz ou le feu n’était pas aussi à l’aise.
Et dans ton métier alors ? Il y a certainement aussi des éléments dans lesquels, au début, tu n’étais pas confiant. Et aujourd’hui, c’est naturel. Tu dis oui, oui, c’est tout à fait normal. Maintenant, je t’invite à imaginer le nouveau stagiaire qui vient dans ton entreprise.
Il ne va pas être à l’aise et aussi confiant que toi sur ces tâches. Donc, on voit bien que t’as des tâches, dit des choses, des moments dans lesquels tu es tout à fait conscient.
La bonne nouvelle, c’est que tu te rends compte comme ça, que la confiance en toi est chez toi, elle est déjà en toi et elle est présente. Il suffit juste de comprendre ça que tu conscientisée, que tu as déjà confiance en toi dans certains moments.

Une fois que tu as conscience de  ça.

Il reste finalement quelques petites choses à faire.

C’est de la réinstallées dans les domaines dans lesquels tu souhaites améliorer et donc projeter ça dans les rêves que tu viens de déterminer dans la première étape.

C’est la troisième et dernière étape.

Relier les deux et surtout de te dire que c’est maintenant. C’est décidé. Maintenant, tu fais ton nouveau départ tu es cette nouvelle personne qui a entièrement confiance en soi et qui ne lâche rien.

Tu oublie aujourd’hui et maintenant tout de suite, tout ce qu’on a pu dire sur toi, tout ce qui a pu être limitants, tout ce qui a empêché d’avoir confiance en toi, tout, tous les mauvais message qu’on a pu dire.

T’oublie également tout ce que toi tu as pu dire, les vilaines phrases que tu utilises pour te décrire. « Je suis nul », « je suis sur » que t’as déjà entendu ça dans ta tête, ou encore le fameux « Mais je suis vraiment con ».

Remplace tout ça par des phrases positives et devient ton propre fan club.

J’aimerais aussi que tu avoue tout de suite que t’as une petite voix interne qui dit des vilaines choses.

« Aller ne t’engages pas dedans ». « T’en n’est pas capable » ou « t’es pas suffisamment compétent ». « T’es pas suffisamment compétent pour réaliser ça » ou tout simplement. « T’es vraiment trop nul ».

 Elle est là dans la tête.

C’est une petite voix qui se cache un peu quelque part. Je te demande de l’avouer que toi aussi, tu es.

Je te dis toi aussi parce qu’en réalité, t’es pas fou. Ou alors, on l’est tous. On a tous cette petite voix.

Elle est plutôt chiante, cette petite voix dans la tête non ? 

On est tous d’accord pour dire ça. Et j’aimerais que t’imagine maintenant que cette petite voix, tu arrives à la transformer et qu’elle devienne ton plus grand allié. Qu’elle devienne Justement, au lieu de te dire t’es nul, qu’elle te dise tu as toutes les capacités en toi parce qu’elle est génial.

C’est que finalement, cette petite voix que tu as dans la tête, on peut bien comprendre que c’est toi qui l’as mise ici.

Donc que tu peux la changer et tu peux changer ce qu’elle te dit.

Pour ça prend la ferme décision qu’à chaque fois que tu l’entends remplace les phrases limitantes par des mots hyper dynamisants.

« Je suis fort, je vais y arriver, je vais être le meilleur. « 

Pour finir, je tiens vraiment à mettre un point d’honneur sur quelque chose d’ultra important.

Je veux vraiment que tu comprenne que toi aussi tu as le droit. Tu as le droit de réussir tout ce que tu veux. Tu as le droit d’entreprendre. Tu as le droit d’aller au bout des choses. Tu as le droit de vivre la victoire en tuant le droit d’avoir les rêves que tu as envie de remplacer. Toutes ces phrases et mets les à la place de cette petite voix. T’as le droit de t’aimer a le droit d’avoir confiance en toi.

T’as le droit d’avoir l’estime de toi. J’en suis totalement convaincu. J’en suis souvent convaincu pour un paquet de monde.

Aujourd’hui, j’ai vraiment envie de te transmettre ça, que tu comprenne que c’est possible avec ces trois étapes.

-La première étape, ça va être de trouver ce que tu ferais si tu avais 100% confiance en toi, de noter, prends le temps de le faire, c’est important.

-La deuxième étape, c’est vraiment de trouver les moments déjà tu a confiance en toi et de rendre compte que finalement, ce n’est pas quelque chose qui est propre à un autre.Tu as cette capacité en toi qui est déjà.

-La troisième étape, c’est de relier les deux premières, finalement. Et puis de te dire si je suis capable d’avoir confiance en moi et que j’ai des rêves dans lesquels j’ai vraiment envie de croire. Je relie les deux et je me rends compte que j’ai la capacité, dans ce moment, d’être tout à fait confiant et d’aller chercher ça et de décider dès maintenant que tu es la personne la plus confiante.

Je te demande sincèrement d’y penser, de te poser et de faire ces trois étapes, de me dire ce qui a marché, de me dire peut être ça bloque et je ferai des vidéos s’il y a besoin dessus. C’est un sujet qui me parle énormément.

Je pense que ça se voit pour aller peut être un peu plus loin. J’ai créé une formation qui est offerte, qui va te permettre d’utiliser et d’aller un peu plus loin dans ces techniques.

Et puis de savoir comment mettre justement en place un plan d’action très ferme et efficace et d’être 100% confiance affirmée, de s’aimer et d’avoir une estime de toi finalement très forte.

Je crois sincèrement en toi.

Tu as le droit à tout un droit de faire tout ce que tu es envie.

Je te dis à tous bientôt